La fête de Pâques ( avec un S ) commémore le sacrifice de Jésus ( Matthieu 26 v 20 à 27 v 50, Marc 14,v 17 à 15 v 37,  Luc 22 v 14 à 23 v 46, Jean 13 v 1 à 19 v 30 ).

La Pâque de l’Éternel se trouve racontée dans Exode 12 v 1 à 36. Les Égyptiens pressent les Israélites de sortir d’Égypte, leur donnent leur or et leur argent, suite à la mort des premiers-nés dans les maisons non recouverte du sang de l'agneau.

La célébration de la Pâque de l’Éternel est instituée par Lévitique 23 v 5 à 8, Nombres 28 v 16 à 25 et Deutéronome 16 v 1 à 8.

Si, naturellement, il y a beaucoup de joie à célébrer la naissance de Jésus, il ne faut pas perdre de vue, qu'il est venu sur terre pour mourir à la croix.

Lors de la Pâque instituée par l’Éternel, chaque famille juive a sacrifié un agneau dont le sang a été passé sur le linteau et les montants de la porte. De ce fait,  la mort n'a pas touché le 1er né de chacune de ces familles ni de leur bétail.

Par contre, pour les familles qui n'avaient pas passé le sang sur le linteau et les montants de la porte, la mort a frappé tant le 1er né humain que du bétail.

Jésus a volontairement versé son sang pour chacun et chacune d'entre nous. Il est la porte, couverte de son propre sang, qui nous libère du pouvoir de la mort.

La croix est l'aboutissement, la réussite de son ministère. Sans la croix, toute sa prédication aurait été vaine. Certes, il est difficile de se réjouir à la Pâque, car cela nous renvoie à la mort de Jésus causée par nos péchés. Il est mort par notre faute, pour nous.

Mais quelle grâce de pouvoir nous réjouir de ce qu'il est RESSUSCITE ! et avec nous tous les jours.

Michel